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Hello, pretty ass #Wadax




Max Powell

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Max Powell


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Message(#) Sujet: Hello, pretty ass #Wadax Hello, pretty ass #Wadax EmptyMar 4 Juil - 16:26

Hello, pretty ass


Inspiration. Expiration. Inspiration. Expiration. La concentration. La clé essentielle. La clé vitale pour ne pas finir tel un pancake explosé sur le trottoir. Est-ce qu’il a l’ambition de devenir un pancake explosé ? Non, pas vraiment. Alors, il se concentre. Il fixe son objectif. Une fenêtre située quelques mètres plus haut. Pour y parvenir, le chemin est simple : les escaliers de secours, puis un peu d’agilité et d’escalade. En quelques minutes, il devrait atteindre l’appartement. Sans être remarqué. En toute discrétion. La nuit est de son côté. Il n’y a que les lumières artificielles qui pourraient le trahir. Détail qui ne semble pas l’inquiéter. La fenêtre qu’il vise donne sur une ruelle. Il y a peu de risque pour qu’on le surprenne dans son effraction. Oui, il s’adonne à des activités illégales et dangereuses. Un peu comme tous les super-héros, après tout. Il fait la même chose. Sans tuer personne. Sans frapper personne. Il pousse juste une petite fenêtre. Rien qui ne puisse inquiéter ou blesser quelqu’un. Il est pour la non-violence. Sauf quand on le cherche, qu’on le provoque ou qu’on le frappe. Là, les beaux préceptes de non-violence disparaissent. Étrangement.  

Longue inspiration. Les battements de son coeur commencent à s’accélérer. L’effet de l’adrénaline. Pourtant, il n’a toujours pas bougé de sa place. De l’autre côté de la route. Il attend. Quoi ? Aucune idée. Le bon moment, probablement. Il doit se sentir prêt. Il doit se sentir concentré. Il doit se sentir en forme. Sinon, il pourrait manquer de vigilance et avoir un accident. Et personne ne viendrait le chercher dans un appartement vide. En tout cas, il n’est plus habité depuis quelque temps. Alors, personne n’irait imaginer qu’un mec est assez con pour mettre les pieds là-dedans. Qui sait ce qui peut l’attendre là-haut ? Il a déjà eu le malheur de croiser la route d’un cadavre. Ce n’est pas pour revivre la même chose. Il en a fait des cauchemars pendant des semaines, la première fois. Mais c’était drôle. Vous auriez vu la tête des policiers et des voisins. Il a aussi fallu expliquer qu’il n’était pas venu pour voler. C’était autre chose de moins cool. Espérons qu’il ne tombera pas sur un cadavre. Vraiment. Croisons les orteils et prions tous les dieux de l’univers.

Inspiration. Expiration. Inspiration. Expiration. Il lève sa main face à ses yeux. Il ne tremble pas. Il a la parfaite maîtrise de ses émotions. Du moins, pour l’instant. Il n’est jamais à l’abri d’une crise cardiaque en tombant nez à nez avec un rat. Là, il ne répond plus de rien. Il pourrait 1/ mourir 2/ donner un coup de pied dans le rat 3/ hurler de sa voix la plus aiguë 4/ faire dans son caleçon 5/ fuir en courant. Il préfère encore ne pas croiser de rongeur, vous l’aurez compris. Il laisse passer une voiture (ce n’est pas le moment de mourir écrasé, hein), avant de traverser la route. Il rabat la capuche de son sweat sur sa tête. Il remet en place sa veste en jean. D’expérience, il a appris qu’il fallait bien se protéger pour affronter tous les cas de figure. Il jette un dernier coup d’oeil dans la rue. Pas de passant. Il peut y aller. Il entre dans la ruelle et fonce sur le mur de l’immeuble. Avec l’élan, il prend appui sur le mur avec ses pieds et se propulse pour atteindre l’échelle de secours. Première étape qui lui permet de rejoindre l’escalier tant désiré. Discrètement, il gravit les marches trois par trois. Bientôt, il se retrouve au bon niveau. Il s’arrête, juste le temps d’observer les alentours. Personne ne l’a repéré. Et il n’y a pas de rat dans les environs. Parfait !

Inspiration. Expiration. Inspiration. Expiration. L’étape la plus laborieuse, dangereuse, mortelle, tout ce que vous voulez, l’attend. Il grimpe sur le garde-corps. Il a moins de dix centimètres pour trouver son équilibre. Dix centimètres qui peuvent le faire basculer. Etrangement, il n’a pas peur, si ce n’est une décharge d’adrénaline. La main contre le mur, il prend le temps de placer correctement ses pieds. Son regard se plante ensuite vers la bordure de la fenêtre. A un mètre. Il peut l’atteindre sans sauter, mais ce serait prendre le risque de faire un grand écart à plusieurs mètres de haut. Situation pas forcément confortable, si vous voulez son avis. Il passe à l’extérieur du garde-corps, les pieds entre les barreaux. Une seconde. C’est le temps nécessaire pour ne pas réfléchir à la suite, pour se focaliser sur son objectif. Et il se lance. Il se propulse en arrière, en poussant sur ses jambes. Les mains s’agrippent à la bordure, les semelles s’accrochent au mur. Ne pas glisser. Surtout ne pas glisser. Il y est. Il se hisse un peu plus, juste assez pour déplacer son poids sur ses avant-bras plutôt que sur ses poignets. Juste devant lui se trouve la fameuse fenêtre. Celle qui est entrouverte. Il n’a plus qu’à la soulever vers le haut et il peut mettre les pieds dans l’appartement.

Il n’y a pas de meilleur sentiment que celui-ci. Celui d’entrer chez une personne. Celui de découvrir son intimité. Et, disons le, celui d’être un voyeur. Ben quoi ? Il a le droit d’être un peu curieux. Ce n’est pas comme s’il allait fouiner dans les tiroirs à la recherche de petites culottes en dentelle dans lesquelles se rouler. Il y a une limite. Maintenant, il peut se détendre. Il peut décontracter ses muscles. Il peut se promener plus librement. Sans avoir peur de tomber ou d’être aperçu. Se détendre totalement serait une erreur. Il reste dans l’appartement d’un inconnu (peut-être même d’un serial killer). Il n’est pas à l’abri de se faire assommer ou de traverser le plancher. Alors, il se glisse discrètement dans l’appartement. La première chose qui le surprend, c’est l’odeur. Un mélange de poussière… de pied et de burrito. Oui, c’est bien ça. Il n’y a pas de doute. Odeur qui fait plisser son nez. Beurk, quoi. Faudrait penser à aérer ou au moins, à vider les poubelles avant de se casser pour toujours. Faut voir le côté positif, ça ne sent pas le cadavre. Ou alors, ça pue le cadavre qui est allé à la salle et qui ne s’est pas lavé avant de se décomposer. Max prend le temps de refermer la fenêtre derrière lui. Il serait idiot d’aérer cette pièce et de la faire sentir bon, voyons. Ca… briserait l’âme du lieu.

Avant de s’aventurer dans le logement, Max prend quelques secondes. Il laisse ses yeux s’habituer à l’obscurité. C’est que, pour l’instant, il ne voit pas grand chose. A part un gros bordel. Autant dire que la personne qui vivait ici n’était pas très portée sur la décoration. Quoique, le style “décharge et accumulation de bordel” pourrait un jour être à la mode. Il tourne la tête. Il y a du mouvement. Il y a une personne. Il y a de la lumière, même. Le myocarde se met à battre la chamade. Ce n’est plus l’excitation, mais l’inquiétude. Il est encore temps de faire machine arrière et de se casser ni vu ni connu. Mais son instinct suicidaire en décide autrement. C’est tellement cool de tomber sur un fou furieux, en pleine nuit. Se faire découper en petits morceaux. Être congelé pendant des années. Tout ça. C’est la meilleure vie qui puisse exister, voyons. Il prend tout de même le temps de s’armer. Hé oh, il n’est pas con, le gamin. Il prend donc le premier truc qui lui tombe sous la main : un carton de pizza. Sérieux ? Et le truc colle un max ! Avec un peu de chance, le carton collera aux yeux de l’inconnu et il sera aveuglé, laissant à Max le temps de fuir. Avec un peu de chance, oui.

Il se glisse discrètement jusqu’à la pièce voisine, celle d’où proviennent les bruits. Il hésite à frapper à la porte. D’un autre côté, c’est entrouvert. C’est que la personne invite tous les visiteurs à entrer et à regarder, non ? Oui, il se rassure comme il peut. Faut pas le juger ! Un, deux… “AAAAAAAAH !” Ses yeux brûûûûlent. Ses yeux saiiiiiignent. Des images choquantes, flippantes et horribles lui viennent à l’esprit. Il fait volte-face. Surtout, ne pas regarder. Surtout, ne pas se retourner. Surtout paaaaas. Bon okay, la réaction n’est pas très courageuse, mais il s’attendait à tout sauf à ça. Un mec qui se déshabille. Et qui a une peau bien cheloue. Il va faire des cauchemars. C’est sûr. Il revoit déjà les fesses en fermant les yeux. Brrrrrr. Il en a des frissons. Faut se reprendre, faut se… BORDEL ! C’est pire qu’un rat ! Dix mille fois pire ! “Qu’est-ce que… ! Je suis désolé… je ne voulais pas… je ne savais pas...” Okay, ne pas reprendre contenance est aussi une bonne méthode. Allez, Max, on respire. On inspire, on expire. Touuuut va biiiien. MAIS VOUS AVEZ VU SES FESSES ? Le pauvre ! Ca doit faire mal. Il a dû en souffrir toute son enfance. Et, bordel, CES FESSES ! Okay, elles sont musclées (faut le reconnaître) et Max en a déjà vu (merci les vestiaires de l’école), mais pas des comme ça. Bon, le gamin hystérique, on va se calmer. Il faut qu’il se calme. Déjà qu’il n’a rien à foutre là, si en plus, il se la joue pervers et gamin hystérico-flippé-malpoli, il ne va rien arranger. Il ferme les yeux. Erreur. Des images de fesses dansant sur la macarena surviennent. Okay. Fermer les yeux développe son imagination. Qui sait ce qu’il imaginera la prochaine fois ? Il ouvre les yeux. Il se concentre sur sa respiration.

Mais il est vite interrompu en voyant les vêtements qui traînent par terre. “Vous… voulez peut-être récupérer vos vêtements ?” Ce serait bien que le mec s’habille. Oui, c’est un homme. Ne lui demandez pas comment il le sait. Il le sait, un point c’est tout. C’est déjà assez traumatisant comme ça. Non, n’insistez pas ! Il ne dira rien. Absolument rien ! Il récupère lesdits habits, en prenant bien soin de les toucher le moins possible. Son index et son pouce font l’affaire. Quoi ? On n’est jamais trop prudent ! Ils pourraient être là depuis des années et être porteurs d’un virus mortel encore inconnu du monde scientifique. La prochaine fois, il prend des gants et surtout, il toque avant d’entrer. Promis. Il se retourne vers l’homme et lui tend les fringues. En prenant bien soin de fermer les yeux, bien entendu. Ah oui, il prendra aussi un masque de sommeil. Pour ne jamais plus voir de fesses masculines. Plus jamais.
(c) AMIANTE
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Wade Wilson

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Message(#) Sujet: Re: Hello, pretty ass #Wadax Hello, pretty ass #Wadax EmptyDim 23 Juil - 15:25


---- hello, pretty ass.
C'est qui le gars qui avait réussi son contrat et reçu une bonne liasse de billets ? C'est bibi. Un contrat simple pour une fois, pas de tueur à gage, pas de dealer surarmé. Juste un ex harceleur. Bon vous allez dire qu'un ex harceleur c'était grave. Mais moins qu'une oie folle qui voulait vous bouffer les pieds ou le paquet. Ça faisait mal franchement. Surtout quand un groupe d'oies servait de chien de garde à un mec que je devais tuer. Mais revenons au sujet de mon contrat. La gamine avait peur pour sa famille et l'enfant qu'elle avait eu avec un autre gars, un gentil cette fois-ci. Elle avait été battue par l'ex et vous savez que je suis contre ça, c'est mal ! Alors j'étais venu le voir chez lui, lui expliquant la vie, le bien et le mal, vous voyez quoi. La petite morale, un couteau enfoncé dans les couilles. Il avait été coopératif. Mais il a fallu que ce petit con se sente plus pisser et tente de m'attaquer lorsque j'allais me barrer. J'avais tâché mon costume bordel ! Il venait de sortir du pressing. Le blanchisseur m'avait vraiment regardé bizarrement lorsque je lui avais ramené mon costume déchiré, pleins de – peinture rouge et de bout de cervelle.

Cette fois-ci, j'avais simplement éclaté la gueule de ce con, il n'était pas mort, simplement dans le pays des songes, la tronche en sang, les os fracturés. Et j'avais été gentil, j'avais laissé un mot sur la porte pour les passants qui auraient pitié de lui et appelleraient les services adéquates. J'étais pas un saint, mais je faisais parfois preuve de charité. Peter commençait à me contaminer avec sa manie de pas toucher aux méchants. C'était une bonne chose, mais pour lui, pas pour moi. C'était un héros, j'étais un mercenaire. Son job était de sauver les pauvres civils et de se faire acclamer. Le mien était de buter les méchants et d'éviter les représailles, toujours fortement armé et vigilent. Il connaissait pas ça et ne comprenait pas ma vision des choses. Le méchant, une balle dans le crâne ne reviendra plus détruire la ville pour la millième fois. Mais que voulez-vous, Peter, c'était un autre level du saintisme. En tout cas, la gamine avait été soulagée, en avait versé quelques larmes mais je faisais pas trop dans ce genre de truc. Autant, si elle était seule, je l'aurais sauté pour la consoler – elle était mignonne en plus. Mais je touchais pas les femmes enceintes, c'était comme ça.

Une fois le paquet de fric en main, je retournais chez moi, passant par un de mes restaurants favoris pour me commander une dizaine de chimichangas et de pancakes. La commande coincée dans mon sac Hello Kitty, je me rendis dans mon appartement, jetant le sac sur le canapé en commençant à me déshabiller, me dirigeant vers ma chambre. Ça puait le sang et c'était pas du tout classe. J'étais pas au stade où je buvais le sang de mes ennemis dans un crâne. Pas mon délire. Je préférais les chimichangas. Je retirais mes armes, ne désirant pas me coincer la lame du katana dans le cul. Une fois pas deux, ce n'était pas du tout agréable. Je me rendis compte que j'avais une bombe désarçonnée dans le bordel de mes attirails. Ma combinaison trainait dans un coin alors que je cherchais la balle qui m'avait traversé il y a une semaine et qui était, j'en étais sûr, quelque part par ici. Mais pas le temps de la grande exploration, penché sous un meuble, je me pris ce dernier en sursautant lorsque le cri arrivait. Je m'y attendais pas à ça.

« AAAAAAAAH ! »
« AAAAAAAAAAAAAAH ! »

Criais-je d'une voix totalement masculine – c'est vrai en me protégeant les parties. Certes, j'avais mon caleçon à moitié baissé pokémon – la première génération, la meilleure, mais hé, j'étais bien foutu, j'avais de beaux atouts, partout. Si seulement Peter pouvait les voir et avoir envie de plonger son visage dedans, d'entourer ma – Oups, enfant ici. Et quoi ? C'était qui ce gars ? Je sortais de sous le meuble, commençant déjà à avancer vers lui mais le gamin semblait vraiment buggé. Je l'avais cassé ?

« Qu’est-ce que… ! Je suis désolé… je ne voulais pas… je ne savais pas... »

Ok. Il était bizarre. Et quand c'est un mec déjà grave bizarre qui le dit, c'est que le gamin doit bien l'être. Je le vois ouvrir les yeux et les rouvrir, paniqué. Il avait un déficit mental ? Pourquoi je les attirais les gars comme ça ? J'étais gentil pourtant.

« Vous… voulez peut-être récupérer vos vêtements ? »

Oh ! Il avait retrouvé ma seconde combinaison – toujours en avoir plusieurs pour les missions, c'est un pro qui vous le disait. Je croyais l'avoir perdu en plus. Je m'approchais de lui alors, levant un sourcil en le revoyant fermé les yeux comme si la vue le dégoûtait. He. Pour la peine, je pris mes affaires et déposais un baiser sur son front avant d'enfiler ma combinaison, laissant de côté le masque. Toujours à la maison. Qui j'allais effrayer après tout ? Je me posais sur mon canapé, attrapant mon sac en me calant bien comme il fallait. Ah, j'avais un invité, fallait être polit.

« Ramènes-toi, y'a Teen Titan qui commence ! »

J'adorais cette série ! Je chantonnais tranquillement le générique, le surveillant toujours du coin de l'œil, prêt à agir s'il tentait quoi que ce soit. Je ne savais pas ses intentions après tout. Mais avant l'interrogation, la bouffe. J'ouvrais mon sac et commençais à manger mes chimichangas avant de le dévisager et de serrer plus fermement mon sac contre moi, pour le protéger.

« J'ai faim, priorité aux affamés. Et merde ! Il me pourrit le cerveau celui-là ! »

Etre gentil, aider les autres, ne pas effrayer, blablabla. Je t'en foutrais moi l'araignée. Je pris un chimichanga avant de lui tendre. Et juste pour m'amuser, je lui tirais la grimace en criant un petit : « Boou ! » Puis je me réinstallais, riant aux éclats. Ah, la vie était cool ici. J'avais même de la compagnie sans devoir payer. Wait.

« J'ai pas, par hasard, payé tes services pour que tu grimpes sur ma queue ? »

J'espérais pas, j'aurais aimé me souvenir de ce joli minois. Oh, on pouvait même plus rigoler ! Je regardais l'épisode, commentant avec virulence, je savais bien que c'était pour les gamins mais oh, c'était trop cucul là ! On abrutissait les gamins. Ah, j'adorais Raven. Pas la toute bleue hein. Aux premières pubs, je me relevais pour aller chercher une bonne bière, faisant une petite moue en sachant que je devais aussi servir mon invité surprise. Deux bières en main, je lui en lançais une avant de revenir m'installer.

« T'es pas là pour me tuer non plus, vu ton gabarit, tu sais plus t'infiltrer dans des petits trous que de tenir un flingue. T'es un démarcheur ? Tu vends quoi ? Aspirateur magique ? Oh, t'es un voisin ! Bonjour, je suis Wade Wilson, mercenaire et parfois héros – Nah, je déconne. Je tue pour le flic, je sauve pas les gens. »

Je décapsulais ma bière avec mon pouce, le brisant dans un petit bruit avant qu'il ne se remette en place, buvant à grande gorgée ma bière. Je la jetais plus loin avant d'attraper celle qu'il n'avait toujours pas bu, tant pis pour lui.

« Ou t'es un autre super-héros à la con ? T'as un costume en lycra sous tes vêtements ? Hey, j'ai un bien meilleur costume que Spider-Man ! En plus j'ai une ceinture de téléportation, bien plus classe que de tirer des toiles ou de voler ! »

Clairement mieux. Tu gères Deadpool.

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Message(#) Sujet: Re: Hello, pretty ass #Wadax Hello, pretty ass #Wadax EmptyMar 25 Juil - 15:47

Hello, pretty ass


Est-ce que l’on peut mourir d’une crise cardiaque à vingt-et-un ans ? Cherchez la réponse sur Doctissimo et les spécialistes (du dimanche) vous diront que oui. Il suffit de voir les fesses vérolées d’un mec. Autant dire que Max est mal foutu. Très mal foutu. Putain, quoi ! Il était censé entrer dans un super appartement. Un appartement ABANDONNÉ. Détail non-négligeable. Au lieu de cela, il y a un mec. AU TROIS QUART NU. On est loin du lieu abandonné. Très très très très très très loin. Et le coeur de Max n’a jamais autant souffert d’une exploration. Il n’arrive pas à s’en remettre. Il cherche son souffle. Il cherche un rythme. Un vrai. Un peu plus et ce triste jour signait la fin de Max. De sa vie trépidante, folle, intéressante, passionnante, enviable. Bon okay, il n’aurait pas perdu grand chose. Juste sa vie. Autant dire, que dalle ! Mais heureusement, Max est courageux (enfin, ce n’est pas ce que dit le fond de son froc). Il parvient à reprendre le dessus (plutôt que de s’évanouir). Il essaye même d’avoir une conversation normale (est-ce que c’est normal de proposer à la personne de se rhabiller ?). Merde. Cette rencontre impromptue est pire que s’il avait vu sa grand-mère toute fripée nue. Autant, il aurait cauchemardé deux-trois nuits, en imaginant les seins tombants, les taches de vieillesse, les plis de partout de sa grand-mère. Autant, il risque d’avoir besoin d’un suivi psychiatrique pour surmonter la vision qu’il vient d’avoir.

Mais bon, en garçon poli et bien élevé, il s’excuse et il propose son aide. Pas à l’habiller, mais plutôt à lui tendre ses vêtements. Manquerait plus que le mec ait besoin d’un assistant pour mettre ses fringues. Alors que, soyons clairs, vu sa tenue actuelle, monsieur n’a pas besoin d’assistant. Bon allez, Max, un peu de nerf ! Ca aurait pu être pire. Il aurait pu tomber sur… Hulk tout nu. Et là, soyez sûrs que la rencontre aurait autrement plus traumatisante. Enfin, c’est ce qu’il essayait de se dire jusqu’à ce que le mec en caleçon pokémon (très bon choix de caleçon soit dit en passant. Faudra que Max lui demande la marque, ça l’intèresse...) vienne l’embrasser sur le front. BORDEL MAIS QUI FAIT ÇA ? A moins d’être un psychopathe, un violeur, un pédophile ou ou ou ou… que sais-je ! Max en reste bouche bée. Pas par émotion, pas par coup de foudre. Naaaaah. Il reste bouche bée parce qu’il est surpris. D’ailleurs, ça doit être sa première fois. Son premier baiser sur le front. Oh gosh, quelle émotion ! Il était puceau du front jusqu’à aujourd’hui et c’est un mec presque nu qui l’a défloré. On ne le croira jamais. Le temps que le mec remette ses vêtements et retrouve un minimum de décence, Max se réfugie de nouveau en dehors de la chambre. Il a besoin de reprendre ses émotions. Il a besoin de se remettre. Il en profite même pour récupérer son téléphone dans sa poche. Il envoie illico un message à un ami. Juste pour lui signaler où il est. Juste pour lui demander d’appeler la police, au cas où il se ferait séquestrer par Monsieur Polémon-tout-nu. On n’est jamais trop prudent avec un mec qui vous embrasse sur le FRONT.

D’ailleurs, ledit monsieur vient de passer à côté de lui. Max lève les yeux de son téléphone. Il remballe discrètement son smartphone dans sa poche. Histoire de ne pas faire de geste brusque et d’effrayer le propriétaire des lieux. Ben quoi ? Vous n’avez jamais lu les faits-divers ? Combien d’hommes fous ont déjà tué des inconnus avec des haches ou des casseroles ? Attendez, est-ce qu’il y en a dans le coin ? Le regard de Max passe en revue rapidement les lieux. Ca n’a pas l’air. Il est sauvé. “Ramènes-toi, y'a Teen Titan qui commence !” “Teen-quoi ?” Putain, y a un problème avec le cerveau de Max. Il bugue sévère. Il faut le rebooter. Maintenant. Bouton rouge d’urgence. Réinitialisation des données. Redémarrage. Voilààààà. Teen Titans. Pour sa défense, il n’a jamais été accro aux comics et encore moins, aux dessins animés qui s’en rapportent. Pourtant, là, ce soir, il se découvre une passion pour eux. Etrangement, il n’a pas vraiment envie de contrarier son hôte. Alors, il rejoint doucement le canapé. Histoire de surveiller les gestes du mec. On n’est pas à l’abri qu’il cache une hache sous le canapé et BIM ! D’un coup sec, Max pourrait perdre sa tête. Et franchement, il en a besoin, de sa tête. Il se glisse sur le canapé, dans une tentative de se fondre dans le décor. Sait-on jamais que Monsieur Fesses vérolées l’oublie, vous voyez ? Certes, je vous l’accorde, ce serait davantage efficace s’il se cassait. Etrangement (ce doit être le choix du caleçon), il n’a pas envie de partir. Pas tout de suite. L’amour du danger, que voulez-vous !

J'ai faim, priorité aux affamés. Et merde ! Il me pourrit le cerveau celui-là !” A qui il parle ? A quelqu’un ? Est-ce qu’il y aurait quelqu’un que Max ne verrait pas ? A moins que ça ne soit pas une hallucination que le gars a ? Dans tous les cas, c’est weird. Même si Fesses Poilues a bon goût en matière de caleçon, Max ne peut pas lui retirer qu’il est étrange. 1/ On ne discute pas avec des inconnus 2/ Encore moins quand ils se sont introduits chez vous 3/ BORDEL MAIS C’EST QUOI SON PROBLEME ? Si c’était Pikachu qui était entré chez Max, ce dernier lui aurait hurlé dessus et l'aurait foutu dehors. Et en faisant cela, il n’aurait pas l’impression d’avoir une réaction exagérée ou non naturelle. Bien au contraire. Mais okay, soit. Tout le monde n'a pas la même... sensibilité et pudeur. Poliment, Max prend le burrito (pardon, le chimichanga), avant de mourir une seconde fois (si cela est naturel) d’une crise cardiaque. BOUH. Il est léger. Doux. Discret. Et pourtant, il fait son petit effet. “PUTAIN DE MERDE !” Le burrito lui en tombe des mains, pendant qu’il recule et tente de grimper sur l’accoudoir. Ce mec est un psychopathe. Pire qu’un clown. Oui, les clowns sont des psychopathes. “Vous avez un vrai problème, vous… ! Mais, merci pour le burrito. Enfin, je crois… Dites, ce n’est pas empoisonné ?” Y a de quoi s’interroger, vous l’admettrez ! Ce mec ne le fout pas à la porte, il l’accueille même, il l’invite sur son canapé, il lui propose à manger. On peut dire que c’est le comportement d’un cinglé qui sait que son piège est en train de se refermer. Et si son piège, c’était la bouffe ?

Peut-être qu’en avalant une bouchée de ce chimichanga, Max précipite sa mort. Peut-être. Peut-être pas. D’un autre côté, il a raison de douter. Fesses Poilues vient d’essayer de le tuer avec un “bouh”. QUOI ? On ne juge pas ! “J'ai pas, par hasard, payé tes services pour que tu grimpes sur ma queue ?” Max rit. Oui, il rit. Parce que c’est la seule réaction qu’il arrive à avoir. Parce que sinon, ce ne serait pas sain. Enfin, rire n’est pas sain dans cette situation. On dirait qu’il essaye de fuir la réalité des choses en prenant tout à la rigolade. Sauf que le mec n’a pas l’air de rire. Pas du tout, même. Finalement, la réalité le rattrape quand même. En fait, elle le frappe de plein fouet et lui fait des bisous baveux. Elle ne décolle plus de lui. “Noooon !! Je… NOOOON. Quelle horreur ! Je ne suis pas… vous pensez que je… NOOON.” Voilà. Merci Max pour ta réponse claire et concise. Visiblement, sécher les cours lui a grillé le cerveau et l’a empêché d’apprendre la structure d’une phrase. Lui qui d’habitude fait preuve d’une incroyable capacité à répondre se retrouve… dépassé. Ouais, c’est le mot. C’est tellement improbable comme situation. Pas qu’il soit à court de mots, mais qu’il soit face à un individu complètement fou. Enfin, à force d’entrer dans des lieux abandonnés, fallait s’y attendre.

Il profite que son hôte se lève pour imaginer un plan machiavélique. Un plan qui consistera à quitter cet appartement le plus vite possible. Sans aucune pitié pour son égo. Peu importe comment. Peu importe quand. Il a deux choix : la fenêtre par laquelle il est entré ou la porte d’entrée. Les deux sont fermées (la dernière est peut-être même fermée à clé). Il ne prend même pas conscience que Face Vérolée lui met une bière entre les mains. Pourtant, il en aurait bien besoin. De boire. Pour une fois, il donnerait tout pour se saouler un bon coup. “T'es pas là pour me tuer non plus, vu ton gabarit, tu sais plus t'infiltrer dans des petits trous que de tenir un flingue. T'es un démarcheur ? Tu vends quoi ? Aspirateur magique ? Oh, t'es un voisin ! Bonjour, je suis Wade Wilson, mercenaire et parfois héros – Nah, je déconne. Je tue pour le flic, je sauve pas les gens.” Okay. Rester calme. Rester posé. Rester...  AU SECOUUUUURS. Il est chez un fou furieux. Un TUEUR EN SERIE. UN SERIAL KILLER. UN ASSASSIN. SAUVEZ-LE. SORTEZ-LE DE LÀ TOUT DE SUITE. IMMÉDIATEMENT. Mayday Mayday ! Pourquoi il n’a pas convenu d’un mot de secours ? Le genre de mot improbable que l’on envoie par sms pour annoncer qu’on est en danger de mort imminent. HEIN ? POURQUOI ? Okay, plus jamais il ne met les pieds dans un appartement soi-disant abandonné. Ah ben, oui, qu’il est con ! Il ne mettra plus les pieds nulle part parce qu’IL VA CREVER. “Vous tuez… ?” Il avale difficilement.

Pourquoi il n’a pas fui quand il en avait le temps ? HEIN ? Il aurait pu le faire au moins cent fois ! Quand il a vu ses fesses, quand le mec se rhabillait, quand il est venu s’assoir, quand… Bon sang, il va mourir, c’est certain. “Ou t'es un autre super-héros à la con ? T'as un costume en lycra sous tes vêtements ? Hey, j'ai un bien meilleur costume que Spider-Man ! En plus j'ai une ceinture de téléportation, bien plus classe que de tirer des toiles ou de voler !” Vous savez, c’est un de ces moments où vous vous dites “mais putain, qu’est-ce que je fais là ?”. Il se passe trop de trucs. La situation échappe à tout contrôle. Et vous, vous ne pouvez que regarder les choses se passer et attendre que le temps se mette sur pause. En attendant, votre cerveau rame pour suivre les rebondissements, sans grand succès. Hé bien, Max est en plein dedans. “J’suis rien de tout ça. Je m’appelle Max et… je pensais entrer dans un appart abandonné. Enfin, ne croyez pas que je critique votre appartement ou votre manière de faire le ménage. Je trouve ça vraiment… particulier. Non, en fait, c’est très très bien entretenu et même que...” Qu’est-ce qu’il raconte, bon sang ? Il a bien envie de se foutre une baffe. Allez, il faut qu’il se reprenne. Il faut qu’il retrouve son aplomb. Ce mec est… Wade Wilson et il s’habille comme… Deadpool. WAIT, mais oui ! Il vient de réaliser ce détail. Il manque seulement le masque. Qu’est-ce qui ne cloche pas chez lui, bon sang ?

Je fais ce qu’on appelle de l’urbex. Vous connaissez peut-être ? On entre dans des lieux abandonnés et on découvre comment vivaient les anciens occupants, vous voyez ? Un genre de voyage dans le temps, mais sans… ceinture de voyage temporel, quoi. Evidemment, c’est beaucoup moins cool qu’une ceinture de téléportation. D’ailleurs, ça doit être super pratique, non ? Vous pouvez être là où vous en avez envie, le pied !” Voilà qu’il est en train de lécher les bottes d’un serial killer et mercenaire. Une ceinture de téléportation. Sérieux ? Ca n’existe pas… Pas vrai ? Mais on a appris très tôt à Max de ne pas contredire les fous. Alors, il s’y emploie bien sagement. Attendez, y a autre chose qui l’intrigue. Spider-Man. “Vous dites que vous connaissez Spider-Man ?” Peter doit être ravi de savoir qu’un mercenaire complètement frappé se trimballe en criant qu’il connaît Spider-Man. Hahahaha. Faudra que Max lui raconte ça. Et l’histoire de la ceinture de téléportation. C’est aussi crédible que l’existence des licornes ! Franchement, les gars ! Des extraterrestres, okay, mais des mercenaires qui peuvent se téléporter et qui connaissent Peter ? Naaaaaah. On ne l’a pas fait à Max.

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